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Protection des baleines - Page 2

  • Etablir l’âge des baleines par leurs squames

    L’âge exact des baleines était jusqu’à présent établi par l’analyse post mortem des dents ou du conduit auditif (dans le cas des espèces à fanons) des cétacés. Daniel Burns, un étudiant australien en doctorat à la Southern Cross University à Lismore (Nouvelle-Galles du Sud), propose une méthode non invasive pour déterminer l’âge des baleines.
    La technique se base sur l’analyse génétique de squames ; ces écailles de peau que les baleines rejettent en masse et que l’on voit souvent flotter à la surface lors des expéditions de Whalewatching. L’ADN qu’ils contiennent permet d’étudier les télomères (extrémités de chromosomes qui raccourcissent progressivement avec l’âge chez de nombreux animaux.)

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  • Ouverture du recrutement des ecovolontaires 2007

    Vous avez une passion pour la connaissance et la conservation des cétacés ? Devenez écovolontaire.

    Chaque année, de juillet à septembre, des écovolontaires viennent apporter leur soutien bénévole pour la protection des baleines à Sainte Marie. 

    En participant à des programmes de recherches scientifiques dans un cadre de développement durable, en aidant les scientifiques et chercheurs dans leurs programmes de suivi des populations des mammifères marins, de collecte de données, de biopsies cutanées, et de photo identification. ces ecovolontaires contribuent à la sauvegarde des baleines à bosse. Les séjours durent généralement de un à trois mois pendant lesquels les écovolontaires sont logés et nourris sur place.

     

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  • Chasse à la baleine: Le gouvernement australien entre en croisade contre la volonté japonaise.

    Fin mai 2005, en Corée du Sud, se tiendra la prochaine réunion de la Commission Baleinière Internationale. Le Japon compte y demander l’augmentation de ses quotas « d’exploitation scientifique baleinière » en Antarctique. Les 440 petits Rorquals (Balaenoptera acutorostrata) tués annuellement dans la zone ne sont pas suffisants pour le Japon qui souhaite doubler ses prises annuelles et veut également pouvoir « étudier » deux espèces supplémentaires actuellement considérées comme espèces en danger : la Baleine à bosse (Megaptera novaeangliae) et le Rorqual commun (Balaenoptera physallus).

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