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  • Formation de Plongée sous-marine et Guide de Certification en Scaphandre

    Est-ce que vous êtes un fan de plongée sous-marine ? Eh bien, si vous n'en êtes pas un (une) encore après votre plongée découverte sachez que vous pouvez toujours prendre des leçons de plongée sous-marine. Ceci est aussi pour les gens qui veulent en savoir plus de la vie sous-marine et sa biodiversité. Mais beaucoup de personnes ne savent pas toujours comment passer leur brevet ou certification pour la plongée sous-marine pourrait les aider. Ce qu'ils ne savent pas c’est qu'il y a beaucoup d'avantages d'être un plongeur certifié plutôt que de rester amateur ou plongeur occasionnel. Des cours de plongée sous-marine forment les personnes et les autorise à apprendre les précautions de sécurité en plongée subaquatique. Cela aussi un moment d’échange entre les moniteurs connaissant bien les lieux et les sites, aussi si vous plongez en Guadeloupe, les guadeloupéens vous feront découvrir les spots pour de merveilleuses plongée ; pas le coin à langouste, hein, ça c’est réservé ;-).

    On considère la plongée sous-marine comme un sport extrême. Cela signifie qu'il y a le danger qui entraîne avec cela s'il est pratiqué par des débutants. Ceci est aussi une des institutions de plongée sous-marine de raisons principales pour lesquelles existent. Vous pouvez seulement devenir un plongeur professionnel certifié une fois que vous avez finalisé votre formation FFESSM ou PADI. Vous pouvez vous inscrire aux écoles de plongée sous-marine qui ont un programme d'études accrédité par ces fédérations.

    Avant de rentrer dans les détails de l'inscription dans ces institutions et club de plongées « homologués », il vous faut savoir comme il est important pour un plongeur d’obtenir une certification de plongée en scaphandre. D'abord, vous pouvez seulement acheter le matériel de plongée bouteille dans un magasin spécialisé si vous pouvez montrer la certification de formation de plongeur. Certain type de matériel de plongée bouteille peut être dangereux pour le plongeur novice si vous n’avez pas été compétemment au fait des techniques enseignées. Vous gagnerez aussi le privilège de choisir le spot où vous voulez plonger si vous êtes un plongeur certifié. On ne peut pas permettre à un plongeur amateur de nager ou plonger dans les eaux qui sont interdites pour des débutants. Des plongeurs professionnels, cependant, à cause d'ils ont suivi la formation nécessaire, permettent à ces plongeurs de s’immerger où ils le souhaitent.

    Ouvrez-vous à la plongée sous-marine par exemple dans les caraïbes, l’eau y est chaude, les fonds translucides et la faune et la flore subaquatique prolifique. La formation s’y après votre baptême vous a converti en fan de plongée prendra en moyenne autour de trois à quatre semaines pour obtenir votre beau diplôme de plongeur, selon les clubs,  votre disponibilité et la météo. Le formé aura toute latitude sur les bases de la plongée en un peu moins d’un mois et connaitra les principes et le fonctionnement général de la plongée sous-marine. Plutôt que de passer du temps en piscine, venez enfiler vos palme et masque sur les Antilles, la plongée sous-marine en eau tropicale y est plus relax que sur les côtes avec une visibilité réduite. Il vous sera enseigné des gestes techniques et leurs significations. Vous serez aussi à même de reconnaitre des animaux marins que vous feriez mieux d’éviter sous l’eau. Il y a des poissons dangereux sur toute la planète, mais très très peu qui peuvent être dangereux pour des plongeurs professionnels, le tout est d’être préparé et savoir quoi faire. Si vous voulez vous inscrire dans un de club pour une formation de plongée sous-marine, il est préférable lors de votre recherche sur Internet de faire le bon choix, c’est-à-dire une équipe qui ne met pas la trésorerie avant la sécurité des plongeurs. Si vous voulez apprendre plus sur où obtenir la certification de plongée sous-marine, vous pouvez visiter ce site http://www.plongee-guadeloupe-nautica.fr/formation-plongeur/.

     

  • Les sanctuaires baleiniers

    Un sanctuaire baleinier est une zone ou la chasse commerciale est interdite. A ce jour la CBI ; Commission Baleinière Internationale (l'organisme responsable de la préservation des populations de baleines) a établi deux de ces sanctuaires : celui de l’Océan Austral et celui de l’Océan Indien. Le maintien des sanctuaires est remit en question tous les dix ans. Les propositions répétées pour ajouter l’Atlantique Sud et le Pacifique sud n’ont jamais atteint la majorité de 75% des votes de la CBI pour être acceptés.

    Le premier sanctuaire des baleines a été établi par dans l'Antarctique en 1938, au sud du 40° parallèle sud entre les longitudes ouest 70° et 160°. Ce sanctuaire a été maintenu jusqu'en 1955 pour être ouvert ensuite temporairement pendant trois années afin de réduire la pression de la chasse sur les autres zones. Par la suite, en 1979, la CBI a établi le sanctuaire de l’Océan Indien, protégeant ainsi une zone dans laquelle les baleines viennent se reproduire, mettre bas et allaiter leurs petits. 15 ans plus tard, en 1994 la CBI décide la mise en place d’un sanctuaire des mers australes. Celui-ci couvre toutes les eaux entourant l'Antarctique et protège une zone où s'alimentent les trois quarts des baleines de la planète. Seul le Japon s'opposa à la création du sanctuaire de l'Océan Austral. En 2004, la nouvelle coalition anti-sanctuaire échoue à nouveau (25 voix pour et 30 voix contre et deux abstentions). Le japon est alors publiquement accusé d’avoir acheté les voix de pays pauvres par le truchement de l’aide Internationale.

     

        « Le Japon continue de chasser la baleine sous des motifs dits scientifiques »

         

    Comme les sanctuaires ne s'appliquent qu'à la chasse commerciale, le Japon continue de chasser la baleine sous des motifs dits scientifiques. Il est pourtant notoire que la viande de baleine est légalement vendue sur les étals japonais. L’image internationale du japon souffre beaucoup de sa politique baleinière, la question de la survie des baleines devenant un symbole pour la communauté internationale. Le contournement des règlements internationaux et le massacre de cétacés par le Japon sont perçus comme sournois et cruel par l’opinion publique qui se passionne de plus en plus pour la cause des cétacés. Certains pays comme l’Australie montent au créneau et le problème devient source de heurts diplomatiques. Il est clair aujourd’hui que l’attitude du Japon frise l’entêtement : les gains de leur politique pro chasse sont infinitésimaux au regards des désavantages.

    Les sanctuaires baleiniers sont économiquement intéressants et constituent un progrès environnemental. L’activité touristique d’observation des baleines (whalewatching) est génératrice de revenus alternatifs bien supérieurs à ceux de la chasse. Inoubliable , le spectacle des baleines permet la sensibilisation du grand public et encourage donc la protection et la recherche sur les cétacés. Les sanctuaires baleiniers promeuvent l'espoir d'un monde sans chasse baleinière.

  • Origines de La Commission Baleinière Internationale

    La chasse industrielle à la baleine noire nordique date du 11e siècle. Les baleines à bosse et les cachalots devinrent les cibles suivantes de la chasse commerciale. L'huile tirée de leur graisse était largement utilisée, notamment pour l'éclairage. A la fin du 19e siècle, l’invention du moteur à vapeur et du harpon explosif qui amélioraient la vitesse des bateaux et la portée et la précision des tirs s’ajoutèrent à cette sombre liste les baleines bleues et rorquals communs, jusqu’alors trop rapides.

    Ces nouvelles technologies et le rendement décroissant des campagnes de chasse dans les océans du nord conduisirent à l’extension des zones de pêche. L’Antarctique, lieu de nourrissage connaissant d’importantes concentrations de baleines, vit naître une chasse à grande échelle et très rentable. Au cours de la première guerre mondiale l’utilisation de l’huile de fanons de baleines dans la fabrication d’explosifs augmenta les débouchés et par conséquent la pression sur les stocks.

     

         « Dés lors, le besoin d’une coopération internationale en vue de la conservation de la ressource devint évident »


    Dés lors, le besoin d’une coopération internationale en vue de la conservation de la « ressource » devint évident. En 1925 la société des nations reconnaît la surexploitation des baleines et la nécessité de réglementer les activités de la chasse à la baleine. Un bureau de statistique est mis en place en 1930 et recense 43 000 prises cette même année. Le même nombre suivra l’année d’après malgré une première convention internationale signée par 22 pays parmi lesquels le Japon et l’Allemagne ne sont pas.

    Avec l’extinction annoncée des espèces de grandes baleines, plusieurs pays se réunirent régulièrement dans les années 30 pour tenter de mettre de l’ordre dans l’industrie. Finalement en 1948, entre en vigueur la Convention Internationale pour la Régulation de la Chasse à la Baleine (ICRW) et la Commission Baleinière Internationale (IWC) fut établie comme son organe de direction. Dés 1956, la rencontre annuelle des 22 pays membres de la CBI statuât sur les règlements, zones et quotas de chasse sur la base de 75% des votes.

    En 1986, la Commission Baleinière Internationale vote un texte interdisant totalement la pêche de grandes espèces de baleines. La CBI avait émis des recommandations en ce sens dès 1982, demandes qui furent reprises et soutenues par des organisations de défense de l’environnement telles que Greenpeace. Toutefois les principaux pays chassant ces animaux chercheront à contourner l’interdiction pour des raisons de recherches scientifiques, comme le Japon ou l’Islande. Quant à la Norvège, elle refusera d’appliquer le moratoire.

     

    Ces dernières années, en reconnaissant les nouvelles menaces pour ces espèces, le consensus des 79 états membres de la CBI a évolué vers une attitude préservatrice au grand dam de quelques pays (Japon, Islande et Norvège) qui tentent de contourner les règlements ou les infléchir par des manœuvres politiques.